Actualités 2009

 

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ETAT-CIVIL 2009

NAISSANCES : 4

Nyla RIX (30/01/2009)
Robin MONATTE (09/06/2009)
Baptiste FARIGOULE-GOUJARD (02/10/2009)
Mylan GARNIER (07/11/2009)

 

MARIAGES : 1

Bruno FAISANDIER - Carine GIRAUD (08/08/2009)

 

DECES ET TRANSCRIPTIONS DE DECES : 13

Jean FARIGOULE, veuf d’Odette OULION (07/01/2009)
Gérard SABATIER (24/01/2009)
Maxime PUBELLIER, veuf d’Eugénie DEYDIER (23/02/2009)
Gaston COUDERT, époux d’Eugénie COURRIOL (02/06/2009)
Fernand BONNET, époux de Marguerite MASSE (18/06/2009)
Hortense OULION, veuve d’Auguste BOUDON (01/07/2009)
Marguerite ROYON, veuve de Lucien MOURY (02/07/2009)
Joséphine FOURY (06/07/2009)
Maurice BAYARD, époux de Marie Jeanne BOUTRAND (14/08/2009)
Fernand BEYNIER, époux d’Odette BORIE (19/08/2009)
Pierre GIL, époux de Léonie PIGEON (10/11/2009)
Denise MONATTE, veuve de Gaston RIX (25/11/2009)
Alice BEIGNIER, veuve de Joseph GARDES (21/12/2009)

 

Beau succès de notre soirée théâtrale du 11 décembre : la photo ci-jointe parle d'elle-même.
Encore merci à tous ceux qui nous ont aidés à faire connaître la venue de Jean-Louis Roqueplan,
en particulier Clotilde, présidente de l'Agumaaa, et Nathalie de L'Eveil.
Herzlich


Le Comité de Jumelage d'Allègre, Céaux, Monlet, Vernassal

 

 

Droit de réponse

 

IL NE FAUT PAS VOIR DES MURS DE BERLIN PARTOUT...

En ces jours anniversaires de la chure du mur de Berlin, L'Eveil du 7 novembre dernier nous a fait l'honneur d'un long article sur la construction d'un mur par un particulier à Sannac.On peut s'étonner d'un aussi long article sur un sujet qui ne doit pas passionner les lecteurs. Mais passons...

Ce qui nous amène à réagir, c'est que cet article est largement inspiré par les dires du propriétaire du mur en question et qu'il comporte des erreurs, des omissions, des interprétations erronées. On ne les relèvera pas toutes. Mais nous souhaitons apporter deux séries de précisions pour éclairer le jugement de nos concitoyens.


Pour la compréhension de la question, il faut savoir que le propriétaire a construit, dans des conditions irrégulières, deux murs qui sont certes continus, mais qui ont des statuts différents, l'un délimitant la cour de la voie communale, l'autre étant situé en plein domaine public.

La 1ère irrégularité concerne la construction d'un mur entre la cour et la voie communale (face à la façade de la maison) sans permis de construire, ni arrêté d'alignement : cette construction ne portant pas atteinte au domaine public et ne gênant pas la circulation, nous avons aidé le propriétaire à régulariser rétroactivement sa situation. Cette démarche amiable est passée sous silence dans l'article, sans doute en vertu de cette règle : « ce qui m'est donné m'était dû ; ce qu'on me refuse m'est dû »

La 2nde irrégularité concerne la construction d'un mur sur le domaine public[1] (face au pignon  est; photo ci-dessus) sans permis de construire. D'abord, il est de notre devoir de faire respecter la propriété de la commune. Où irions-nous si chacun se permettait de construire sur le domaine public ? Quel crédit aurions-nous pour faire respecter l'inaliénabilité du domaine public communal si nous laissions un précédent se créer (« tu l'as bien accepté pour X ») ? J'ajoute qu'il nous arrive d'accorder des autorisations (toujours précaires et révocables) d'occupation du domaine public, y compris pour y implanter des éléments immobiliers (trottoir, terrasse, escaliers). Ensuite, cette construction rétrécit le passage à cet endroit, rendant, à partir de 2008, la circulation plus difficile, non pas parce qu'il ya eu changement de municipalité, comme le laisse entendre l'article, mais parce que, cette année-là, ont été réalisées trois routes forestières entre Sannac, d'une part, et Salettes et Sarzols, d'autre part, et qui avaient notamment pour objet, permettant la sortie des bois par Sannac, d'éviter aux tracteurs d'emprunter le pont de Salettes, qui est en fort mauvais état, ou de traverser Sarzols, où le passage est très étroit. Or, ces routes accèdent au réseau goudronné précisément au carrefour que la construction du mur a eu pour effet de réduire. Il aurait été incohérent, pour la commune, de construire des pistes et de laisser porter atteinte au débouché sur le réseau communal.

Ici, la régularisation étant impossible, nous avons, toujours dans un esprit de conciliation et après de longs palabres, proposé, cet été, au propriétaire de lui vendre, après déclassement, une bande de terrain de 3 mètres, en offrant même d'assurer nous même une partie des démarches, de manière à lui éviter des frais inhérents à la vente. A ce jour nous n'avons toujours pas reçu de réponse.

En résumé : sur les 2 problèmes, un a été réglé grâce à notre compréhension ; pour l'autre, nous avons proposé de faire la moitié du chemin, mais le propriétaire a refusé de faire l'autre.
Chacun jugera.

JLF 08 11 2009


[1] Le propriétaire prétend qu'il s'agit d'un bien de section, ce qui est faux, mais le problème est le même.

 

 

Vie au quotidien

 

UN CONTRAT "GAGNANT-GAGNANT"

 

Samedi 16 octobre, une vingtaine d'habitants de la commune étaient réunis salle de la mairie pour signer avec le maire un contrat de vente de bois de chauffage pour l'euro symbolique.
Le constat de départ est simple : nos chemins sont envahis de frênes et autres arbres, souvent de "bois dur" d'excellente qualité pour le chauffage. Ces arbres intéressent ceux qui se chauffent au bois ; ils ferment les chemins et les paysages. Sous notre précédent mandat, il nous était apparu possible de rapprocher les intérêts des uns et des autres. Cette année, nous avons actualisé ce contrat, nous en avons vérifié les termes après consultation de la préfecteure et de la MSA et nous avons proposé à chacun des habitants de la commune intéressés de récupérer ce bois à charge pour eux de d'évacuer les branches et autres houppiers. Deux conditions à cela : être résident dans la commune et utiliser ce bois exclusivement pour sa consommation personnelle.
Et, si tout se passe bien (mais il n'y a pas de raison pour que ce ne soit pas le cas !), cette pratique sera renouvelée l'année prochaine et les années suivantes. Ne vous inquiétez pas : il y a de quoi faire !

JLF 24 10 2009

 

 

Ecole

 

C'EST LA RENTREE A L'ECOLE LAÏQUE JEAN MACE !

 

La rentrée s'est effectuée d'une manière beaucoup moins sereine que les années précédentes . Les chiffres parlent d'eux-mêmes : l'an dernier, l'école comptait 5 postes d'enseignants pour 101 élèves. Cette année, le nombre des élèves est de 104 pour 4 postes seulement. Conséquence : deux classes à deux niveaux bien différents regroupant l'une 28 élèves et l'autre 29 élèves.


L'équipe pédagogique inchangée regrette le départ de Nadine Champeix (pour cause de fermeture de poste). Le personnel de service reste en place avec quelques modifications d'horaire.
La mairie poursuit, avec l'aide du Conseil général, le chantier de remplacement de toutes les huisseries du bâtiment. Les mesures d'hygiène ont été renforcées pour faire barrage à la vedette de l'actualité quotidienne.

Le nouveau projet d'école comportera les éléments imposés par l'administration, ainsi que par les choix propres de l'établissement (prévention-protection et littérature autour du thème des sorcières entre autre). Le souci quotidien et primordial de l'équipe enseignante étant bien sûr de faire fonctionner les classes avec de tels effectifs, ce qui nourrira la réflexion sur les projets tout en les orientant.

 

GM 26 09 2009

 

Anniversaire

 

CLEMENCE a 100 ans

Le 14 septembre,les parents et amis s'étaient joints aux pensionnaires de la maison de retraite pour fêter  le centenaire de Clémence Romeuf.Cette longue vie a été retracée par le maire de la commune, Jean-Luc Fraisse ; puis, ont également pris la parole le Père Sigaud, Josiane Bianco, une amie de Clémence du Midi, Marie-Agnès Petit et Jean Vasselon, son neveu. Tous, en des mots très touchants, ont dit leur amitié et leur affection pour Clémence.Les pensionnaires étaient là, ainsi que des amis et parents venus du Puy, de Toulon, de Paris. Le personnel de la maison de retraite avait parfaitement assuré la partie gourmande avec un gâteau digne d'une centenaire. Robert Baylot a gracieusement et amicalement assuré l'animation musicale. Bref, une petite fête très réussie !

Voici le discours qu'a prononcé le maire de la commune.

 

Nous voici réunis pour fêter notre centenaire, Clémence ROMEUF.

Des centenaires, il y en aura de plus en plus, et cette multiplication des centenaires est une véritable richesse, une occasion de nous retourner sur le savoir des Anciens, fait de patience et d'expérience, de nous tourner vers le passé, et en particulier celui de Clémence pour en tirer des leçons.

Clémence FERRET est née à Saint-Pierre-Duchamp il ya juste cent ans, le 14 septembre 1909. Son papa était meunier au château d'Arzon jusqu'à ce qu'un incendie détruise le moulin et oblige la famille à s'installer à Nolhac, village de la commune de Saint-Pierre.

Son papa décède en 1920. Clémence se retrouve orpheline de père et sa maman l'élève seule. Les conditions d'existence sont difficiles et entraînent l'obligation de partir pour gagner sa vie : en 1927, à 18 ans, Clémence est placée comme employée de maison dans la famille de Marie-Thérèse et René CHOSSEGROS, notaire et maire d'Allègre. En 1929, à l'âge de 20 ans, elle se marie avec Jean BOYER, menuisier à Menteyres, et rapidement Clémence l'aide dans les nombreuses activités qu'il lui faut assurer pour rapporter à la famille des conditions décentes d'existence : à Menteyres, ils exploitent un commerce d'épicerie-café et quelques terres ; dans les villages, Clémence fait ses tournées en voiture à cheval avec son beau-père pendant que son mari relève les compteurs d'électricité pour la Compagnie Forces et Lumières du Velay. Deux enfants arrivent au foyer, qui décèdent tous deux à la naissance : Jeanine en 1937 et René en 1938. En 1940, un nouveau deuil frappe la famille en la personne de son chef ; Clémence est veuve. En 1941, elle se remarie avec Constant ROMEUF, électricien, du Mallet. Tous deux poursuivent l'activité de café-épicerie. C'est la guerre, et Clémence fait la tournée des fermes avec sa machine à fabriquer les pâtes, apportant ainsi un grand secours aux familles éprouvant les plus grandes difficultés à se nourrir. Le couple accueille aussi des neveux, voire des enfants de la ville envoyés là parce qu'il est plus facile de se nourrir à la campagne ; nous connaissons de ces enfants censés garder les chèvres et qui, en fait, étaient plutôt gardés par les chèvres ! Jusqu'à la mort de Constant, en 1967, les tournées se font en 402 bâchée, voiture si caractéristique avec ses deux phares rapprochés logés à l'abri de la calendre constituée par des fils de fer verticaux. Arrivant dans les villages, Constant klaxonne, reste au volant pendant que Clémence court chercher ses clientes dans leur foyer : si ça, ce n'est pas du marketing !...

Après son deuxième veuvage, Clémence continue l'activité de café-hôtel-restaurant. Les carriers mangent là ; tous ceux qui passent à Menteyres prennent la peine de s'arrêter pour « boire un coup », « dire bonjour à la Clémence » ou faire une partie de cartes ! Clémence est connue et reconnue : vive, pleine d'entrain et de réparties, c'est un personnage et son établissement est réputé dans les environs. Elle reprend du service chez les autres, en l'occurrence à la boulangerie Fuzet où elle sert les mercredis et les dimanches. En même temps, elle commence à penser à elle : le dimanche, elle fait son tiercé ; l'hiver, elle part chez des amis, dans le Midi. Elle reste seule chez elle, avec ses chiens fidèles auxquels elle s'adresse comme s'ils faisaient partie de la famille. Grâce aux soins quotidiens et attentifs de ses amis Rose et Claude Beygnier, Robert Dutemps, Jeanine Picot elle peut rester chez elle jusqu'à ce que, en 2007, elle doive rentrer à la maison de retraite.

 

Voila ce que nous disent l'histoire et la vie de Clémence Romeuf. Elles nous parlent d'une époque dure où les tournées se faisaient à cheval, où la mortalité infantile était forte, où les enfants étaient souvent orphelins, où gagner sa vie était un combat de tous les jours, où les femmes n'étaient pas maîtresses de leur destin, mais elles nous disent aussi une époque où nos campagnes étaient pleines de vie, où il y avait de la solidarité entre les gens. Le long parcours de Clémence recouvre tout cela : sachons profiter de cette expérience acquise au long des années.
Nos félicitations à Clémence qui atteint aujourd'hui l'âge de 100 ans, souhaitons lui de battre encore bien des records... en nous promettant de les égaler, ce qui ne serait pas si mal !

 

CLEMENCE a 100 ans

 

JLF 22 08 2009

 

Carnet blanc

 

CARINE et BRUNO

 

Le 8 août dernier, une belle assistance envahissait une salle de la mairie bien trop petite pour assister au mariage civil de Carine et Bruno, avant la cérémonie religieuse en l'église d'Allègre. En effet, Bruno Faisandier, 25 ans, chauffeur-livreur, domicilié à Polignac, et Carine Giraud, 25 ans également, comptable, domiciliée à Châteauneuf, avaient décidé d'échanger leurs consentements pour effectuer ensemble le grand voyage de la vie. La mariée était charmante et élégante, le marié sérieux comme quelqu'un qui prend un engagement pour longtemps, et la foule nombreuse et joyeuse. Le maire de la commune fut le premier à féliciter les nouveaux époux, avant que ne le fasse leurs nombreux parents et amis, en insistant sur le plaisir qu'il avait à recevoir le « oui » des époux, avant d'insister sur la famille Giraud, très honorablement dans la commune et dont des membres de plusieurs générations ont siégé sur les bancs de cette même salle de la mairie. Une quête fut organisée au profit de la Ligue contre le cancer, qui remercie bien vivement les époux de ce geste de solidarité en ce jour de joie.
Tous nos vœux au jeune ménage, qui s'installera bientôt à la Clède, et toutes nos félicitations à leurs parents et à leurs familles.

 

JLF 19 08 2009

 

 

 

UNE NOUVELLE COMMERÇANTE


Les cas d’ouverture de commerces ne sont pas si nombreux ; raison de plus pour les signaler quand ils se produisent.

Avec des parents originaires de la Haute-Loire et installée à Monlet prés deux, Ophélie était demandeuse d’emploi ; elle a suivi une formation d’esthéticienne, avec l’envie de s’installer professionnellement à Allègre. Là, elle prit contact avec la municipalité qui l’orienta sur diverses pistes, mais c’est finalement d’un contact avec Nadine Dessimond, coiffeuse, qu’est venue la solution puisqu’elles ont décidé de partager les locaux du 2 rue Notre-Dame de l’Oratoire. Sous l’enseigne de « Douce Anais », Ophélie propose divers soins du visage et du corps. Bonne chance à elle !

JLF 04 06 2009

 

 

Nécrologie : Magali des Roseaux

 

 

Beaucoup d’entre nous ne la connaissaient pas, mais chacun connaît la famille Grellet de la Deyte qui a occupé une place éminente à Allègre depuis plusieurs siècles : Magali des Roseaux est décédée à Paris, le 21 mai des suites d’une longue maladie, à l’âge de 43 ans. Elle avait fait des études d’Arts décoratifs ; elle avait travaillé à l’AFAA, organisme d’Etat chargé de la diffusion de la création et de la culture françaises dans les domaines artistiques. Elle s’intéressait à la spiritualité hindoue ; elle emplissait de sagesse et bonheur tous ceux qui l'approchaient. La mort l’a prise en pleine jeunesse, laissant en particulier son père, Alain des Roseaux, dans une profonde peine.
Nous présentons à sa famille nos sincères condoléances et l’expression de notre profonde sympathie.
« Le temps s’en va, le temps s’en va, Madame ».

 

Magali des Roseaux
Magali des Roseaux

JLF 01 06 2009

 

 

LE CONSERVATOIRE DES ESPACES ET PAYSAGES D’AUVERGNE (CEPA) EN VISITE A BAR

 

Les visiteurs sont nombreux à Bar, mais ce samedi 25 avril, des visiteurs avaient quelques raisons particulières de faire l’ascension de ce volcan emblématique : il s’agissait des membres du Conservatoire des Espaces et Paysages d’Auvergne qui est intervenu, il ya une dizaine d’années, sur une parcelle de 5 hectares au flanc même de Bar. Après une coupe à blanc qui défigurait véritablement le volcan, juste en face du village, et grâce au mécénat d’un résident secondaire de la commune et à l’appui efficace de la commune d’Allègre, du Conseil général, de la direction départementale de l’Agriculture et de la Forêt, la section française de l’Organisation mondiale de la protection de la nature (WWF) a pu acquérir cette parcelle, et le Conservatoire effectuer des travaux visant à effacer cette trouée du paysage pour que la forêt reprenne ses droits.

Le Conservatoire des Espaces et Paysages d’Auvergne (CEPA) est une association dont le but est la préservation et la gestion des sites naturels auvergnats. Il rassemble des bénévoles, mais aussi des personnes morales telles que des communes, des communautés de communes, des associations. En partenariat avec les pouvoirs publics et des entreprises privées, il mène des actions de préservation des espaces naturels en s’engageant dans des démarches comme Natura 2000, dans l’élaboration et la mise en œuvre des schémas d’aménagement et de gestion des eaux (SAGE) ou dans des actions conduites par les collectivités territoriales (espaces naturels sensibles, réserves naturelles).

L’association, dont le siège social est à Riom (Puy-de-Dôme), est intervenue, depuis plus de dix ans, sur 185 sites essentiellement, dans l’Allier et le Puy-de-Dôme, pour seulement 20 en Haute-Loire ; dans notre secteur, il est  notamment présent à Berbezit, où il a procédé à la pose d’une clôture et à la plantation d’une haie d’essences locales autour de l’étang. C’est pourquoi, souhaitant élargir son action vers le Cantal et notre département, il a ouvert, le 1er mars 2009, une antenne départementale dans les locaux du Conservatoire national botanique du Massif central, à Chavaniac-Lafayette, d’où il compte développer ses actions en Haute-Loire et où, pour marquer cette volonté, il a organisé, le 25 avril, son assemblée générale, en présence notamment de Michel Joubert, vice-président du Conseil général, chargé de l’environnement. A l’issue de cette réunion, les visiteurs sont venus visiter et faire l’ascension du mont Bar où ils ont été accompagnés par Jean-Luc Fraisse, maire d’Allègre. La faune, la géologie ont été au centre de l’intérêt de ces visiteurs… sans oublier les préoccupations mycologiques !

JLF 28 04 2009

 Eté

LA FETE DU CAMPING MUNICIPAL

 

Samedi 15 août, nos amis du camping municipal organisaient leur fête traditionnelle. En effet, depuis de nombreuses années, les habitués (et quelques autres) se retrouvent sous la pinède du Chier et de véritables liens d'amitié se sont tissés entre eux. Ce jour-là, ils avaient organisé leur fête annuelle, avec au menu une excellente paëlla , préparée par François, et un concours de pétanque. Ils avaient invité le maire, Jean-Luc Fraisse, et Bruno Christophe, conseiller municipal chargé du camping, manière aimable de remercier la municipalité pour les travaux d'amélioration et de confort réalisés par la commune et par les conseillers municipaux eux-mêmes au printemps dernier.

 

LA FETE DU  CAMPING MUNICIPAL

 

JLF 29 09 2009

 

Nécrologies

Gaston COUDERT, Fernand BONNET

 

Deux disparitions subites ont endeuillé et ému notre commune au cours du mois de juin.


Le 5 juin, c'est Gaston Coudert, domicilié rue du mont Bar qui nous a quittés. Gaston était né en 1921 à Céaux d'Allègre ; il avait été agriculteur toute sa vie, d'abord à La Borie, en cette commune, puis, à partir de 1957, au Chier, commune d'Allègre. Il s'était marié en 1943 et avait eu quatre enfants, cinq petits-enfants et trois arrière-petits-enfants. C'était un homme bon, calme, pondéré, attentif aux siens et aux autres.

 

 

 

 

Puis, c'est Fernand Bonnet qui est parti de manière tout aussi soudaine. Fernand était né à Allègre, en 1928 ; il s'y était marié en 1953 ; il y est décédé le 18 juin 2009. Il avait eu la douleur de perdre son papa à l'âge de sept ans ; il fut élevé par sa mère qui était modiste. Il avait suivi sa scolarité au pensionnat Saint-Martin où, après avoir obtenu le brevet élémentaire, il avait fait la classe pendant deux années. Ensuite, il était devenu apprenti, puis ouvrier mécanicien au garage Marrel et aux établissements Jean Charretier. Il dût travailler dur à une époque où l'outillage n'était pas ce qu'il est devenu ; sa santé s'étant altérée, il devint chef d'agence à la Caisse d'Epargne d'Allègre. Tout au long de sa vie, il participa largement à la vie communale d'abord comme conseiller municipal, dans les années 50, puis dans de nombreuses associations : foyer Guynemer pendant la Guerre, musique et harmonie municipale, chorales, Sporting-club (foot), bénévole des Restos du cœur, trésorier des Donneurs de sang. Fernand était quelqu'un de calme, organisé dans sa tête et dans sa vie, très apprécié de tous, bref de ces personnes qui rendent la vie en société agréable. Doté d'une calligraphie impeccable, il était sollicité chaque fois qu'il fallait écrire un texte destiné à une large diffusion et les plus anciens d'entre nous se souviennent des plaques minéralogiques avec effet de relief qu'il peignait lui-même dans les années 50-60 !

A ces familles, nous présentons l'expression de nos sincères condoléances, ainsi que de notre bien vive sympathie.

 

 

 

Nécrologies

Maurice BAYARD, Fernand BEYNIER

 

Le bois a, depuis longtemps, été une activité économique essentielle dans nos territoires et qui a fait vivre de nombreuses familles, directement ou indirectement. Deux hommes qui travaillèrent durement dans ce secteur, leur vie durant, nous ont quittés récemment.

Le 14 août, c'est Maurice Bayard qui s'est éteint après quelques années difficiles. Né à Allègre le 19 décembre 1924, Maurice avait suivi les traces de son père charpentier en devenant menuisier auprès de celui-ci. En 1946, il épouse Marie Boutrand et tous deux auront quatre enfants, dont un décédé à la naissance, cinq petits-enfants, six arrière-petits-enfants et un arrière-arrière petit enfant ; dans les années 80, tous deux eurent le malheur de perdre leur fils dans un tragique accident du travail. A partir de 1948, il avait travaillé à l'entreprise Passemard, puis Moury, avec une interruption de 1949 à 1951 pour travailler aux Tanneries au Puy et de 1951 à 1959 pour faire le paysan à Bonharme, puis à Frontès. A l'heure de la retraite, en 1989, il s'installe à Frontès jusqu'à ce que la maladie l'oblige à revenir à Allègre, en 2007. C'était un grand amateur de chasse au chien courant, et il avait été longtemps le garde-chasse de l'ACCA de Monlet. D'un naturel avenant et d'un commerce agréable, c'était un homme agréable que l'on avait plaisir à rencontrer.

Fernand Beynier est décédé le 19 août après une longue et pénible maladie. Il avait, lui aussi, travaillé dans le bois, d'abord dans les scieries Ampilhac et Charretier, puis comme transporteur de grumes, avec son beau-père, Claude Borie, avant de travailler à son compte puis avec ses fils, Alain et Jacky. Son enfance s'était passée entre Besses, où il était né le 12 mai 1933, Serres où il vécut enfant et Allègre où il s'installa après son mariage avec Odette Borie, le 31 décembre 1953. Ils eurent trois enfants et sept petits-enfants. C'était un homme travailleur, généreux, au caractère bien trempé et non dénué d'humour.

Aux familles éplorées, nous adressons nos condoléances, ainsi que l'expression de notre bien vive sympathie.

JLF 09 09 2009